L’édition 2024 étant un succès, la fameuse fête de la Macrâle sous son nouveau nom : Elarcam est de retour. Du théâtre, de la musique et des lumières pour toute la famille. Le Centre culturel d’Engis vous invite à le retrouver fin février, pour profiter de cette belle soirée.

Elarcam est une fête qui se déroule dans la commune d’Engis, à Hermalle-sous-Huy. Elle célèbre la fin de l’hiver et le début des beaux jours ainsi que la fin de stages organisés par le Centre culturel d’Engis et le CEC. Durant ces stages, les participants préparent la fête prévue en fin de semaine avec des décorations et un spectacle de théâtre. Tout les habitants y sont bien évidemment conviés et sont libres d’aider à sa conception.
L’objectif de cette soirée est de rassembler les habitants de Hermalle-sous-Huy dans un esprit de convivialité et d’alacrité. C’est également un moment de partage entre les habitants qui sont invités à boire un verre accompagné d’un pain saucisse. Les organisateurs proposent également d’oublier les soucis en les écrivant sur un papier à jeter dans les flammes d’un brasero.
Le Centre culturel d’Engis, en partenariat avec le Comité des fêtes du 21 juillet, l’école d’Hermalle-sous-Huy, l’ATL/AES, La Maison de Quartier Le Seize et les citoyens d’Hermalle, vous invitent donc à les rejoindre le 28 février pour cette fête à ne pas manquer. Se déroulera le spectacle de fin de stage à l’école primaire d’Hermalle-sous-Huy. De là, commencera le cortège, juste après le théâtre, qui vous mènera dans la cité des Rys et se finira sur le lieu de la fête, au quartier de la fontaine Saint-Jean. Sur place, vous découvrirez l’exposition organisée par les enfants des stages, ainsi que des installations lumineuses pour une immersion totale.
Mais savez-vous d’où vient cette festivité de Elarcam ? Pour ceux qui suivent l’évènement depuis quelques années, vous devez vous souvenir de la fête de la Macrâle. Nous vous présentons sa suite : Elarcam ! simplement Macrâle à l’envers. Cette fête, née en 1998, est à l’origine une soirée où les enfants d’un stage construisent et brûlent une sorcière. Pour des raisons de législation, il n’est plus possible de brûler cette sorcière. La fête à donc continué son chemin sous un autre nom.